J'apprends seulement à l'instant le décès inopiné de Mr Gérard. Je l'ai rencontré en novembre dernier... Il m'avait lors fait partager sa passion, montré son atelier. C'était une visite pleine de surprise pour moi, de passion partagée. J'aurais souhaité le revoir, afin qu'il m'initie à certains de ses secrets... La vie en a décidé autrement. Je pense bien à sa famille, qui a perdu sans doute quelqu'un d'exceptionnel.
Vincent Grégoire

Vincent Grégoire- 26/07/2011

Un dernier coup de téléphone et puis j'apprends la triste nouvelle et suis encore sous le choc.
Mon ami Raymond pourquoi !! Toi qui m'a beaucoup appris, qui à vus en nos deux filles de petits prodiges de l'accordéon qui s’intéressait aux progrès de Anne, encore merci.
Nous tenons à transmettre à Primerose et à tous ces proches nos sincères condoléances.
Jacky, Joëlle, Morgane et Anne

Jacky, Joëlle,Morgane et Anne Poncin- 08/07/2011

Vous que j'ai souvent rencontré en 20 ans, vous qui m'avez tant aidé, vous qui m'avez tant appris (même si je suis ingénieur), vous qui étiez d'une gentillesse extrême et d'une plus grande générosité encore, Pourquoi ? Pourquoi ? Mais, peut-on supporter de telles épreuves..... Moi qui vous ai rencontré quelques jours avant votre disparition et me rappelant vos paroles "Je me sens, comme sur un petit nuage, il me semble que je flotte ...", sachant d'autre part ce que vous aviez subi, cela m'a interpellé, je n'ai pas pu prévenir votre si douce épouse ....
Vous qui lirez ces lignes, ne soyez pas étonné du "vous" que j'utilise. Etant moi-même quelques 12 ans son aîné, je n'ai jamais pu le tutoyer, tellement je le respectais pour son savoir, ses capacités à passer des heures, des jours, des nuits pour résoudre un problème que je lui posais avec "mes sacrées machines", comme il disait. Et sa joie quand enfin il m'appelait pour me dire : "Mr. Henrotay, votre machine est prête ... et d'appeler son épouse pour lui faire entendre le son de ses "sacrées machines", tellement il était fier de son travail.
En vous j'ai perdu un de mes meilleurs amis et votre disparition m'affecte au plus haut point. J'ose espérer qu'au moins, après tant de bonté, vous trouverez votre place au milieu du Paradis des Accordéonistes, et que peut-être là vous leur serez encore utile et prêt à reajuster le si bémol qui "chuinte" un peu. Salut "l'artisan restaurateur" de ces vieilles machines, tu nous laisses bien seuls .... J'espère seulement que vous enfin trouvé la paix à laquelle vous aspiriez tant. Je suis fier d'avoir compté dans mes amis une personne comme vous et je terminerai en présentant à son épouse et famille toutes mes sincères condoléances et de mon éternelle gratitude à Raymond Gerard.

Roger Henrotay- 21/08/2011