Nous vous prions de bien vouloir accepter nos plus sincèrs condoléances

Michel et Maggy TAHON-WATILLON- 11-12-07

A vous qui avez si mal

Que dire face à votre chagrin pour vous soutenir ou vous réconforter tant de paroles futiles et trop enttendues tel que ça devait arriver, c’est peu être mieux comme ça , c’est un dur moment à passer ou tout simplement sincères condoléances.
Comme le dit Linda lemay dans sa chanson « une mère ça ne devrait jamais mourir mais on n’y peut rien faire et on n’y peut rien dire….. ».
Je ne peux vous dire de quoi demain sera fait mais je peux vous encourager à retourner fouiller dans votre passé à la recherche de tous ses beaux instants que vous avez eux la chance de partager avec elle. Je pence que c’est comme ça qu’elle aimerait vous voir, aucun être cher n’aime voir ou faire souffrir ses proches. Même si je reste discrète je contribue à votre peine et mon cœur vous accompagne dans cette épreuve douloureuse.
Je vous joins un petit texte ci-dessous qui aurai peut être pu être ses dernières pensées pour vous avant de rejoindre tous ses chères disparus qu’elle a tant aimé.

Sylvie

«À ceux que j'aime... et ceux qui m'aiment»
Quand je ne serai plus là, relâchez-moi, laissez-moi partir.
J'ai tellement de choses à faire et à voir,
Ne pleurez pas en pensant à moi,
Soyez reconnaissant pour les belles années,
Que je vous ai donné, vous pouvez seulement deviner
le bonheur que vous m'avez apporté chacun a votre façon.
Je vous remercie de l'amour que chacun m'avez démontré,
Maintenant, il est temps de voyager seule.
Pour un court moment vous pouvez avoir de la peine, la foi vous apportera réconfort et consolation.
Nous serons séparés pour quelque temps.
Laissez les souvenirs apaiser votre douleur, je ne suis pas loin et la vie continue...
Si vous avez besoin, appelez-moi et je viendrai,
je serai les mille vents qui soufflent,
je serai le scintillement des cristaux de neige,
je serai la lumière qui traverse les champs de blé,
je serai la douce pluie d'automne,
je serai l'éveil des oiseaux dans le calme du matin,
je serai l'étoile qui brille dans la nuit,
Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai là, et si vous écoutez votre coeur, vous éprouverez clairement la douceur de l'amour que j'apporterai.
Et quand il sera temps pour vous de partir, je serai là pour vous accueillir.
n'allez pas sur ma tombe pour pleurer,
je ne suis pas là, je ne suis pas morte.
Je ne vous dis pas adieu, mais au revoir.
J'ai vu venir la mort avec sérénité, courage et sagesse.
En fermant mes paupières, je me suis soumis à la volonté de Dieu.
Du haut du ciel, je vous suivrai pas à pas, et je ne vous quitterai pas.
Pourquoi pleurer mon départ, puisque la mort a été pour moi, la fin de
mes souffrances.
C'est grand la mort, c'est plein de vie dedans.

sylvie arnould- 10-12-07

dans ces pénibles moments,vous n'êtes pas seuls.A toute la famille nous présentons nos plus sincères condoléances

Jean-Claude CailteuxTourneur- 10-12-07

Chers parents, Chers amis,
'Elle quitte ceux qu'elle aime pour retrouver ceux qu'Elle a aimé'
Nous avons déjà, mes soeurs et moi, eu la douleur de perdre notre frère Franz, notre Papa, et aujourd'hui Maman est allée les rejoindre.
Notre peine est grande, mais, nous voudrions vous dire tout l'amour qu'elle nous a donné;
Il était bon de se sentir aimé et de recevoir son regard plein de tendresse chaque fois qu'on se voyait. Jamais assez souvent pour Elle.
Le temps de la réflexion venant, nous nous sommes rendu compte de toutes les qualités qu'avait Maman et de l'immensité de son amour maternel. Le souvenir de son abnégation, de son courage, de son dévouement va nous suivre la vie entière, car par sa générosité, Maman nous a aidé à vivre. Nous n'avons pas manqué d'amour maternel, mais, maintenant cet amour va nous manquer, car aujourd'hui, nous sommes pauvres. Nous avons perdu notre Maman. Si le paradis existe, Maman y est sûrement à côté de Franz et de Papa. Elle leur dira combien nous nous aimons.
Merci Maman. Ce n'est pas un adieu, ais un au revoir

Famille WERY-ROLAND- 14-12-07